Peggys Perioden-Projekt - paint it red!
Avec Peggy contre le tabou des règles – Pour une approche décomplexée des (premières) règles
Quel cauchemar : Peggy, 13 ans, a ses premières règles… pendant les cours ! Une tache rougeâtre est visible en plein milieu de sa chaise et toute la classe s’en aperçoit. Peggy aimerait disparaître sous terre. Mais est-ce vraiment OK qu’encore aujourd’hui elle doive avoir honte d’avoir ses règles ? Avec sa copine Leni, elle décide de lutter pour plus de tolérance vis-à-vis des règles et les deux amies prévoient une action choc – à condition que la vie quotidienne ne vienne pas s'en mêler…

Südpol
208 pages
ISBN 978-3965942752
Relié
18,00 €
à partir de 11 ans
Autrice
Franziska Höllbacher est autrice et illustratrice. C’est pendant ses études en design de communication à Salzbourg qu’elle se lance dans l’écriture, l’illustration et la publication de livres pour enfants. Peggy’s Perioden-Projekt – Paint it red! est son premier roman jeunesse.
Appréciation du jury
Le jour où Peggy a ses premières règles en plein cours et que ses camarades le remarquent à cause d’une tache rougeâtre sur sa chaise, elle aimerait disparaître sous terre. La honte absolue ! Mais grâce au soutien de sa meilleure amie Leni et de Lisbeth, une artiste excentrique et pleine de vie, Peggy parvient peu à peu à accepter les transformations de son corps. Mieux encore : elle lance un projet autour des règles – une exposition participative à laquelle tou.te.s les élèves sont invité.e.s à contribuer, pour briser le tabou. La seule consigne : Paint it red. Avec le soutien inattendu du proviseur, prêt à vendre les œuvres des élèves pour financer la mise à disposition gratuite de protections hygiéniques dans l’établissement, le projet prend de l’ampleur. Porté par un ton drôle et bienveillant, enrichi de conversations par messages et d’illustrations décalées, ce roman aborde la question des règles sans gêne ni malaise. Franziska Höllbacher signe ici un récit engagé et rafraîchissant, qui déconstruit les tabous avec panache. Finie la honte, place à l’émancipation !